J-F Froger, Le livre de la nature humaine

Jean-François Froger, Le livre de la nature humaine, ou la révélation de Jésus Grand Prêtre dans l’épître aux Hébreux,
éd. Ad Verbum/ Grégoriennes, 2019.

__ L’anthropologie révèle que tous les peuples ont universellement institué des rituels. La ritualité s’explicite dans le langage et les cérémonies, que ce soit dans la multitude des religions ou dans les sciences. L’ultime rituel est celui de la pensée : la logique.

__ Cet ouvrage entend montrer que la ritualité de l’homme définit une nature humaine. Selon la Lettre aux Hébreux, la ritualité liée au Temple de Jérusalem est l’exemple parfait montrant la nature humaine, et son devenir chaotique lorsqu’elle n’est pas comprise (ou qu’elle est rejetée).

__ On peut écouter une conférence de Jean-François Froger sur ce thème : Une anthropologie universelle et chrétienne préfigurée par le Temple ? sur notre chaîne dailymotion.com/video/x6bsg20 (ou sur youtube.com/watch?v=6tTgB9mrab0) – texte de départ : Jean 2, 13-22. On peut aussi feuilleter le livre.

__ Dans le livre, on trouve la Lettre aux Hébreux traduite de la Peshitta avec une typographie montrant toute la structure orale du texte, en particulier le balancement continuel gauche/droite (ou « latéralité »). La préface est du Père Francisco José Lopez Saez, professeur de théologie spirituelle à l’Université pontificale de Comillas des jésuites de Madrid, et professeur de spiritualité et de liturgie des Églises d’Orient à l’Université Ecclésiastique San Damas.

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One thought on “J-F Froger, Le livre de la nature humaine

  • 15 mars 2019 at 20 h 53 min
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    A la suite d’un billet intitulé « De l’eschatologie, par Maurice Mergui « , publié par Michel Louis Lévy sur son blog j’avais écrit quelques commentaires qui ne sont pas sans rapport avec le sujet du livre de J.-F. Froger

    Pas sans rapport, mais pas en accord comme il sera possible de s’en apercevoir là : http://www.hemmelel.fr/blog/2006/01/23/de-l-eschatologie/#comment-2002

    Le pivot de ma réflexion est ici : « Naïf centurion je m’étonne : pourquoi Pourim, dernière fête de l’année liturgique, fausse ou vrai jumelle de pâques, qui la précède ou la suit de peu, n’est pas évoqué dans les évangiles ? »

    (il est à noter que M. Mergui, dans un lien cité dans ces commentaires rapproche Kippur de Purim…)

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